Le cadre de vie, première raison d’un départ
La nouvelle génération d’entrepreneurs est mobile. Leur seul outil de travail est un ordinateur portable, qu’ils peuvent emmener partout. Alors, pourquoi ne pas le poser à Dubaï ? Ici, la grisaille européenne laisse place à un quotidien ensoleillé, où le travail se mêle à la détente sur la plage.
La sécurité est un argument clé : la criminalité y est quasi inexistante. Cette sérénité s’étend à la qualité des services. De la blanchisserie aux courses, tout est accessible en quelques clics via une application ou un simple message. Cette organisation pousse naturellement les entrepreneurs à se concentrer sur l’essentiel : développer leur activité.
Fiscalité : d’un avantage passif à un levier stratégique
L’absence d’impôt sur le revenu reste un atout majeur. Mais les Émirats ont introduit en 2023 un impôt sur les sociétés (9 %) pour les bénéfices supérieurs à 375 000 AED (environ 100 000 €) ou 3 millions AED de chiffre d’affaires (selon certaines conditions). Cette réforme impose une gouvernance renforcée et une conformité aux standards internationaux. Si vous êtes une PME ou une startup, il est crucial d’anticiper votre croissance pour ne pas avoir de mauvaises surprises.
Si les particuliers continuent de bénéficier d’une imposition nulle et les petites structures de seuils protecteurs, la fiscalité émirienne n’est plus un simple avantage passif, mais un levier stratégique à intégrer dès la création ou l’expansion d’une entreprise. Dans un contexte où les autorités intensifient les contrôles, les acteurs qui sauront optimiser leur conformité sans sacrifier leur agilité en feront un atout compétitif. Les Émirats restent une destination attractive, à condition d’y aborder la fiscalité avec proactivité et rigueur.

Kevin Dubois, Tax Architect de MAJ, souligne que “pour un entrepreneur belge, s’installer réellement à Dubaï peut séparer plus distinctement ses revenus. S’’il crée une société aux Émirats pour développer ses affaires dans la région, les bénéfices réalisés localement profitent de la fiscalité avantageuse du pays (souvent 0 % sous certaines conditions, parfois 9 % au-delà d’un certain seuil). En revanche, ses revenus restés en Europe, comme des loyers ou des dividendes, continuent d’être imposés selon les règles belges. Cette stratégie permet non seulement de limiter les doubles impositions, mais aussi d’organiser sa comptabilité avec clarté. L’essentiel est que l’installation à Dubaï soit réelle et reconnue sur le plan fiscal.”
Dubaï, la ville où l’étranger est la norme
À Dubaï, l’expatrié est la règle : 9 habitants sur 10 viennent d’ailleurs. Ce cosmopolitisme valorise la diversité et fédère les talents venus du monde entier autour d’un même objectif : entreprendre, innover et construire ensemble.
Attention, ce tableau idyllique peut cacher des pièges, comme les produits inadaptés, les prix exagérés, ou les conseils biaisés.

Yannick Silvy, Head of Tax de MAJ, avertit : « L’une des erreurs classiques des Belges qui s’installent à Dubaï, c’est de ne pas sécuriser leur résidence fiscale. Par ailleurs, la Belgique introduira dès 2026 une taxation des plus-values sur les actifs financiers détenus hors cadre professionnel, ainsi qu’une “exit tax” pour les contribuables qui quittent le pays. Être bien accompagné permet de se prémunir contre ces risques et d’optimiser sa situation. »
MAJ, un label de confiance
C’est pour répondre à ces défis que MAJ est née. Fondée il y a cinq ans, la société accompagne des entrepreneurs dans plus de 17 pays. Sa mission : offrir un cadre sécurisé et transparent, en s’appuyant sur l’expérience de ceux qui sont passés par là.
MAJ ne se contente pas de conseils techniques : l’entreprise fédère une communauté. Le MAJ Club réunit des familles belges, des experts de l’e-commerce, des investisseurs, qui partagent leurs expériences et leurs solutions.
Maxime Gautier, CEO de MAJ, commente : « Connaissez-vous ce jeu des mentalistes où l’on vous demande de penser très fort à quelque chose… et où, par un tour d’esprit, ils devinent à quoi vous pensez ? Chez MAJ, c’est un peu pareil. Imaginez un entrepreneur belge qui réussit dans l’e-commerce, il y a de grandes chances qu’il soit déjà membre de MAJ. Parmi eux, des figures comme Gabriel Dubois, aujourd’hui référence de l’e-commerce belge, ou encore Fabio Lavalle, entrepreneur influent qui investit massivement en Belgique tout en développant des projets à l’international, illustrent parfaitement la puissance de ce réseau.”
Accélérer, mais bien entouré
L’internationalisation n’est plus un choix, mais une nécessité. Dubaï s’impose comme une plateforme incontournable pour les entrepreneurs belges.
S’expatrier ne doit pas se faire seul. Sécuriser ses démarches, anticiper sa résidence fiscale, maîtriser ses obligations comptables et déclaratives locales sont des conditions indispensables pour transformer une opportunité en réussite. C’est précisément l’accompagnement que propose MAJ.
Avec plusieurs milliers de clients, MAJ s’est imposée comme une référence pour les entrepreneurs qui veulent allier sérénité, sécurité et ambition mondiale. Et si Dubaï est une destination de choix, MAJ n’en fait pas pour autant « la » seule. L’entreprise est présente dans plus de 17 pays (Thaïlande, Maurice, Malte, etc.) et accompagne ses clients dans le choix le plus adapté à leur situation.
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